Communism Is (not) Dead

Bah oui, ces derniers jours, je ne t'écris plus Camarade. Cela est dû que j'en ai marre de t'écrire...

Bref, je vais passer à d'autres choses pendant quelques temps, arrêter de lire les autres blogues aussi. Mettre en pratique ce que j'ai appris durant mes errances sur la toile sur des projets sera une bonne occupation, je croix. D'ailleurs, si tu le veux, Camarade, tu peux déjà me rejoindre sur ce petit projet qui ne demande qu'à se développer.

Aller, j'arrête les conneries et à bientôt.

Ça va venir, mais j'ai un peu trop bu d'alcool de litchi... Dire que des personnes me font confiance...

Y a pas a dire, je ne me suis pas planté avec ce Pinot Noir.

Ou plutôt régression, ou bien retour en arrière, aux bases perdues dans les fonctions inutilisées de vos butineurs préférés. Rouge Coco revient donc exercé sa dictature formelle pour ma plus grande joie personnelle (comme le dit si bien Hush : Optimisé pour nos gueules).

Coupée vendredi soir par des renégats en culotte courte... Réparée ce matin par un technicien affolé de France Télécom... Ma ligne est enfin opérationnelle. On aura bien rigolé avec mes voisins. Comme le piratage merdique de notre antenne (le boulot aurai été bien fait, on ne se serait rendu compte de rien).

J'aurai aussi plein d'autres choses à vous raconté, mais je n'ai pas le courage en ce moment. Je voudrai être méchant avec ce que je lis ou entend, mais je n'ai pas encore le courage. Je voudrai rencontrer des personnes qui partagent les mêmes passions occupations envies travaux, me rendre utile, mais je ne sais plus par quoi commencer.

Mais bon, la terre tourne.

Ça ne s'achète pas, ça ne se vend pas, ça se digère normalement (comme tout le monde), ça s'invente dans l'ordre inverse des commentaires, ça reste dans la même veine, ça fait, donne, retranscrit ce que vous voulez (du cul, du cul ?), ça durera le temps qu'il faut pour ce rendre compte que c'est une idée de fin de soirée (?), ça va être beau (comme cette fiesta au Mathis devenue folle)... Qu'on se le dise, Oxymore change de style.

I am a Americaner ! (Ça me gonfle).